Ca n’est pas trop fait pour ça mais c’est sympa pour s’entraîner. L’herbe étant glissante, cela oblige à maîtriser encore plus le démarrage. C’est juste un peu moins chiant qu’un démarrage en côte.
Un démarrage réussi:
Un démarrage raté:
Ca n’est pas trop fait pour ça mais c’est sympa pour s’entraîner. L’herbe étant glissante, cela oblige à maîtriser encore plus le démarrage. C’est juste un peu moins chiant qu’un démarrage en côte.
Un démarrage réussi:
Un démarrage raté:
Voici quelques semaines qui sont assez représentatives d’une année de travail.
Utilisation du train, du vélo droit, couché, de la voiture, etc…
… et je ne roule pas beaucoup en couché ! La principale raison, c’est que je suis encore assez lent !
Mais bon, je me sens de plus en plus à l’aise pour les redémarrages comme pour le pédalage. Les muscles commencent à venir.
Comme discuté avec d’autres vélocouchistes dont Guilhem avec son vélomobile, il apparaît qu’en vélo couché on est vite limité par les jambes plutôt que par le souffle : je confirme ! J’arrive très vite à sentir de l’acide lactique dans mes jambes alors que je roule toujours autour des 25 km/h. Pour passer les 30 km/h c’est quasiment un effort surhumain !
Sur mon vélo droit, je tourne presque à 30 km/h (record 29,7) de moyenne mais sur des distances plutôt comprises entre 40 et 50 km avec des conditions idéales voire avec vent dans le dos (donc moins de fatigue).
Mes conclusions personnelles pour un débutant en vélo couché :